Beleragond

Bon, ce rp a été fait il y a trois mois pour le w1, vous reconnetrez peut etre certains joueurs.

Pour la gloire d'Epona

Les premières lueurs de l'aube pointaient à l'horizon lorsque les hordes ennemies apparurent au loin. Ils étaient des milliers. Fantassins, cavaliers et machines de guerre avançaient côte à côte dans la brume matinale. Les tours de garde avaient donné l'alerte deux jours auparavant, depuis, auunes nouvelles n'étaient parvenues aux oreilles des cavaliers des plaines. Titoutheking, dirigeant de ce peuple,, avait immédiatement convoqué les seigneurs des différents villages de la plaine et leurs armées respectives. Il fut décidé que le combat se déroulerait à l'endroit nommé: "le sabot d'Epona".

Le jour de la baitaille ariva rapidement. Chevaux et cavaliers furent bénis par les prétresses d'Epona et des moutons furent sacrifiés, leur sang versé en offrande. Puis les hommes prirent place derrière leurs chefs.
Titoutheking, le Duc de ces terres, chevauchait au centre avec sa garde personnelle, sur le flanc gauche, Beleragond motivait ses troupes en tenant un discour sur la faiblesse de l'ennemi, et, sur le flanc droit, Gallina, la matriarche d'Epona, priait silencieusement.

Les cors retentirent soudain dans la plaine. Tous montèrent en selle et chargèrent en poussant des cris de guerre. Au loin, un soleil rouge se leva.

oué il est pas mal
j'ai bien aimer une petite histoire comme sa de temps en temps sa fait pas de mal

puis en plus elles sont bien donc on peu pas se pleindre

c'est émouvant que de souvenir, je m'en rappelle de cette bataille comme si c'était hier, on les a bien matés ces brigands!!!!!

Gloire, Gloire!!!!

Bonjour messieurs, mesdames et mesdemoiselles.
Le journal "le rauder mugissant" est fier de vous relater un fait divers tout frais.
Aujourd'hui vers 13h30, titouthe king a été victime d'une bien mauvaise blague. En effet, il était en train de fêter sa nomination au poste de Baron lorsqu'il partit inspecter son village. Et là, horreur des horreur, il vit arriver au loin une armée composée d'au moin deux hommes, un à pied et l'autre monté. Les sens en alerte, il se dépécha de contacter son Duc préféré, je nomme: le superbe, le fort, le sage...Beleragond!!!!
Une discussion animée s'en suivie, titou retenant l'attention de Beleragond tandis que des espions étaient envoyé en SHurn, le fief du Seigneur Beleragond. Il s'est avéré qu'en fait c'était ce dernier qui avait envoyé des troupes. Pendant son intérogatoire, le coupable avoua que c'était pour un test. Les deux compères sortirent bras dessus bras dessous du poste, et finirent ivres à la taverne.
Les enqueteurs recherchent encore des complices, des rumeurs disent que la belle missi serait aussi dans le coup.

alala ses jeunes alors :ouned:

Moi j'aurais aimé en envoyer plus que sa

Voilà le début d'un poème. Je n'ai pas eu le temps de le finir, vous verrez la suite demain.

Un cavalier seul.


Ce poème est dédié à un cavalier des plaines, à un frère de toujours et à un fils attentionné: Titoutheking.



Aujourd'hui une histoire
Il me faut vous conter.
Elle nous parle de gloire
Et de fautes expiées.
Vous n'êtes pas sans savoir
Que pour vous en parler,
Il me faut vous pourvoir
D'éléments du passé.
Car comme une passoire
Vos esprits sont troués.
Ne perdez pas espoir,
Je vais les reboucher.

Nous voilà au début
D'un grand temps de conflits.
Maintes guerres sont perdues,
Des territoires accquis,
Et certaines tribues
Sont décimées ainsi.
Des guerriers furent déchus,
Et aucun n'y survis.
Certains prirent le dessus,
Les autres ne prirent partis.
Ce furent eux les élus,
Et non leurs ennemis.

C'est alors qu'arriva
Notre belle déesse.
Elle se nomme Epona,
Elle met les foules en liesse.
En ce temps elle sauva
Notre peuple en détresse.
Puis elle nous ranima
Lors d'une grande messe.
À nos femmes elle parla,
Elles devinrent des prétresses.
C'est ainsi qu'Epona
Devint notre déesse.

C bon mon frère de se rappeler de bon souvenir!!!

Oh oui mon frère, c'est beau.

Il ne savait pas où il en était. Des visages fantomatiques voletaient tout autour de lui, riant et se moquant de lui. Cela dura plusieurs minutes puis il disparaissairent pour laisser la place à d'autres visages horriblement déformés. Défigurés pas la colère ou les pleurs, il tournaient autour de lui, mais sans bruit cette fois. Angoissé et pris de nausée due à la dance macabre des visages, il tituba quelques secondes avant de s'écrouler par terre. Sa chute lui parut infinie, il se voyait tomber et sentait que ces mains ne pouvaient proteger son visage, il avait beau vouloir, ses bras ne pliaient pas, il restaient balants sur sa poitrine. Il vit le sol s'approcher de sa tête, et sentit le choc sur son nez. Il entendit l'os craquer et le sang gicler de la plaie. une fois totalement immobilisé sur le sol, le monde repris une vitesse normale et les visages disparurent peu à peu. Seul le sang et la douleur lui indiquère que ce n'était pas un rêve. Il se releva lentelent et à taton, le sang dans les yeux lui empechant de voir. Une fois debout, il rechercha la cause de toutes ces horreurs, ses yeux aveugles lui permirent de s'enfoncer à l'interieur de lui même et de voir ce qu'il s'y passait. Malheureusement, il ne compri aucun des sentiments qui l'habitait en ce moment. Il se sentait mal. Une envie d'écrire, de relater ce qui c'étai passé pour ne pas l'oublier et l'analyser plus tard, le pris soudain. malheureusement son état physique actuel l'empechait de faire quoi que ce soit. Cela le paralysait et le lançait. C'était plus que la douleur, c'était quelquechose de plus profond, de plus dur, de plus obscur. Seul sa chaire savait ce que c'était, et il voulait le découvrir.

Un autre rp écrit il y a quelques mois et retravaillé aujourd'hui:




À l’aube des temps, naquit un guerrier du nom de Urkmarweitz. Âgé seulement de quelques hivers, il combattait déjà les orcs sur les hauts plateaux de ce qui sera plus tard l’Empire. Ce combattant avait toutes les qualités requises pour être un grand héros, malheureusement, il portait également en son coeur de grands défauts.

Un jour, à l’aube de son 37e printemps, un orc gigantesque abattit son marteau sur la tête du guerrier. Son crâne explosa sous l’impact, mais, au lieu de sang, des étoiles sortirent de sa tête et allèrent prendre place dans le ciel. Elles étaient superbes et scintillantes. Elles resplendissaient dans la nuit, éclairant aux hommes le droit chemin. Ainsi naquirent les dieux, d’un guerrier.

De sa rage guerrière naquit Ulric, dieu de la guerre. De la justesse de ses décisions naquit Verena, déesse de la justice. De l’eau contenue dans son corps naquit Mannan, dieu des mers et océans. De son âme et de son imagination naquit Mòrr, dieu de la mort et des rêves. De son adresse manuelle naquit Ranald, dieu des voleurs et de la chance. De sa compassion envers les autres personnes de sa tribu naquit Shallia, déesse de la guérison et de la compassion. De ses qualités de stratège à la guerre naquit Myrmidia, déesse de la stratégie guerrière. De sa communion avec la nature naquit Taal, dieu de la nature et des lieux sauvages.

Ainsi les dieux apparurent du guerrier. Mais alors que les vers commençaient à ronger son cadavre, de son coeur sortirent quatre étoiles noires qui obscurcirent la lumière des dieux.: Nurggle, dieu de la pourriture et de la maladie; Tzeench, dieu de la création et du changement; Khorne, dieu du sang; et Slaanesh, dieu du vice.

Alors commença l’ère du combat des dieux, où seuls les plus forts d’entre eux pouvaient survivre. Ce combat dure encore de nos jours, mais, désormais, les dieux ont des légions sous leurs ordres pour combattre et s’entre tuer sur la terre du vieux monde.

Voilà un nouveau texte tout frais. J'ai essayer d'écrire une sorte d'essai sur la vision de la folie au moyen-âge. Selon moi je n'ai qu'à moitié réussi. Mais ça reste à voir...

De la folie au moyen-âge.

J’était là. Les yeux écarquillés devant la scène qui se déroulait sous moi. L’homme pleurait. Ses sanglots déchiraient la nuit. Toute la place c’était tue et regardait. L’homme se releva, marcha quelques instant, tituba et tomba. Puis ses pleurs reprirent de plus belle. Ils s’arrachait les cheveux, les jetaient par terre, puis les piétinaient. Un dixième de seconde, il croisa mon regard. Je puis alors voir ses yeux. Ils étaient injectés de sang. D’une rougeur comparable aux yeux des démons dans les fresques de la paroisse. Peu à peu, les sanglots de l’homme se transformèrent en rire. Un rire terrible, on aurait dit que ce n’était pas lui qui riait.
Les personnes assemblées en cercle autour de l’homme prirent peur au vu de ce changement soudain. Un mouvement de recul agita la foule. On entendit une voix au loin crier: “À l’hérétique! Qu’on appelle l’inquisiteur!”. Alors l’assemblée reprit avec la voix. Et ce ne fut plus une personne mais une centaine qui appelaient l’inquisition.
Ainsi l’inquisiteur vint. Je vis ses hommes saisir le malheureux. Avec l’aide des hommes présents, un grand bûcher fut monté sur la place. Le pauvre fou fut attaché à un poteau au centre du bûcher.
Ainsi brûla un homme dont je ne connaît, ni ne connaîtrait le nom. Ainsi brûlèrent des centaines voir des milliers de personnes sous prétexte, plus ou moins sûr, de folie, sorcellerie et autre manigance diaboliques.

DECRET


Ainsi l'Inquisition avait encore frappée.

Trantor était en émoi, dans un silence pesant que la brume naissante de l'aube amplifiait.

Les Amazones avaient eues à faire maintes fois à faire aux sbires de la Religion du Dieu Unique, les nombreuses statues à l'entrée de Trantor en témoignaient encore: Une statue pour chacune des Pretresses, des Amazones, qui donnèrent leur vie sur le buchet: au pied de chacune d'elle une amphore sacrée débordantes d'offrandes.

Les Amazone n'oublieraient jamais le pouvoir patriarcal qui mis mille fois le pays à feu et à sang, non point pour une guerre, non point pour un territoire, non point pour des ressources! Mais pour imposer un matriarcat inplacable au sein du quel la seule prononciation d'un mot de notre langue, un seul signe de conjuration, un acte de l'Art Sacré, nenait pretresses, Amazones, et badeaux innocents à la plus horrible des morts.

Bientôt parvinrent à Trantor le fumet écoeurant de la chair brulée.
Comme une seule, chacune des Amazones tomba genoux à terre dans un silence toujours plus intense...

Ce jour ci, d'aucune pleura toutes les larmes de leur corps, implorant la Déesse de venger les corps meurtrits à présent en cendre des innocents et innocentes immolée au nom d'un Dieu, au nom de son... amour.

Quel amour est-ce donc là qui interdit la différence!?

L'Impératrice se jura alors de faire subir à tout inquisiteur le même sort qu'ils aimaient à faire subir à autrui, mais afin de ne point souiller les Territoires de la Déesse, ce fut sur la coline voisine, loin de Trantor, que fut monté le buché funeste de la Vengence.

Puis elle envoya aussi loin qu'elle le put des messagères avertissant qu'en Avalon, tout porteur de la croix et tout inquisiteur subiraient le même sort après que leur langue fut tranchée, afin que leur cris d'agonie ne souille point les Oreilles Amazones!

Dans un autre coin du monde, une cite jumelle nommee avalon, ignorante de sa gemellite avec les amazone, avait eu echo de ces actes barbares. Son Seigneur et maitre, le Duc Jaynoby etait meurtri devant une telle barbarie...

Quels homme etaient donc capable d'une telle cruaute? La race humaine ne serait donc jamais capable d'apprendre la tolerance? Chaque etre vivant meritait sa place dans ce monde, quelque soit sa difference, ou sa folie, car la folie elle-meme etait bien souvent provoquee par les hommes qui la combattaient, la etait le plus grand des paradoxes de ce monde...

Voyant cela, il decida de partir a la conquete du territoire qui l'entourait, pour y apporter la parole juste, celle du respect de la vie et de la difference, et ainsi, combattre l'envahisseur inquisiteur, meutrier de ses pairs, intolerant au possible, mais surtout coupable de ces peches meme dont il declarait coupable les pauvres gens soumis a son joug...

Et cela, il le faisait dans les larmes, car pour Jaynoby, une vie est une vie, et prendre celle d'un ennemi lui etait aussi douloureux que de constater la perte d'un proche. En effet, si l'ame etait mauvaise, elle ne l'avais pas choisis, et meritait le respect de ses larmes, sinon, il n'aurait pas valu mieux que ses propres ennemis...